Un peu d'eau... [PV Jamie]

[Julia O'Connord]

Cela faisait maintenant une semaine que Julia était en cavale. Elle était partie avec son frère de coeur Chris et avait pris des provitions pour seulement quelques jours. Chris et elle avaient pratiquement épuisé leur réserve de nourriture et d'eau et cela faisait maintenant trois jours qu'ils se restraignaient. Et tous cela pour quoi ? Rien. Strictement Rien. Ils n'avaient pas trouvé les humains, ils avaient toujours les traqueurs à leur trousse et maintenant il allaient mourir de faim ou de soif.

Cependant, en s'enfonçant un peu plus dans la fôret, ils étaient tombés sur un petit ruisseau. Ils n'en croyèrent pas leur yeux. Julia voulu aller boire immédiatement mais Chris le lui interdit. Il voulait boire avant elle pour s'assurer que l'eau était potable. Julia le regarda un peu amusée mais le laissa faire, s'il voulait jouer les héros il pouvait toujours le faire. Quand elle bu enfin boire, elle le fit d'abord, puis ensuite apprécia le cadre. Elle entendit son ventre grondé de faim. Elle tenta de le cacher mais Chris l'entendit et fit de nouvelle portion. Il lui donna sa prtion comme depuis maintenant la veille. Chris disait qu'il voulait qu'elle soit en bonne santée et qu'il se fichait pas mal de sa santée à lui. Elle ne répliquait pas car elle voyait bien dans son regard qu'elle n'arriverait pas à le faire changer d'avis. Ils s cuhèret tôt et comme à l'accoutumé, Chris vien se coucher près d'elle. Il lui avait aussi donner la couverture, la seule qu'ils avaient et Julia dès le premier soir exigea qu'il la partage avec elle.

Le lendemain matin, elle fut réveillée par le froid. Elle ouvrit les yeux et remarqua l'absence de Chris. Elle regarda autor d'elle le cherchant des yeux mais ne le trouva pas. Elle remarqua alors la présenced'un bout de papier sur son sac à dos. Elle lu :

"J'suis parti chercher des provisions. Je sais que tu m'en aurais dissuader. Je suis donc parti avant que tu ne te réveilles. Je reviens très vite ne bouge pas."

Julia commença à avoir très peur dès qu'elle eut fini de lire le mot. C'était la première foisdepuis le début de sa caval qu'elle se retrouvait seule, affreusement et complètement seule. Elle décida de se recoucher et de se cacher sous la couverture. Cela ne servirait à rien si des traqueurs arrivaient mais elle se sentait un peu mieux ainsi. Elle ferma lesyeuix et laissa son esprit vagabonder. Bien entendu ses pensées se tournèrent vers celui qu'elle aimait...

[Jamie Stryder]

Nous étions en mission. Mélanie, Jared, Gaby, Ian et moi même étions partis tôt, il y a deux jours. Nous parcourions les terres la nuit, nousdormions le jour bien à l'abri des regards. Mais la nuit dernière, nous avons eu un problème nous nous sommes fait repérés et je les ai perdu. Enfin, je me suis débrouillé pour que les traqueurs me suivent, et me voila seul dans une forêt. Je ne sais pas trop où je me trouve, mais les traqueurs ne me suivent plus et ma famille est hors de danger.
Je vagabondais dans une forêt seul, la solitude ne me déplaisais pas mais mes pensées tournaient à plein régime. Je continueais à marcher entre les arbres et je rêvais, je ne voyais plus les choses devant mes yeux mais mn rêve, mon illussion... J'étais dans une immense prairie interminable, je marchais, marchais sans but vers le bout. Des arbres commeçaient à apparaître. Ils étaient de plus en plus, au fur et à mesure que j'avançais. Je pénétrais à l'intérieur de celle-ci, une forêt dence et verte, une douce ôdeur de fleur et e tendre bruit d'u ruisseau. J'avançais vers le bruit d ruisseau, arrivé à celui-ci, un get de lumière traversat les feuilles pour se poser sur une douce femme. Un ange, mais pas n'importe quel age, c'était le mien ! Je restais figé devant ma douc qui était àcôté de moi. Je rêvais, cette prairie n'était pas réelle, cette forêt si accueillante aussi, ce doux ruisseau aussi...
Mais je l'entendais réelleent, alos je me frotta les yeux. Je ne rêvais pas vraiment. La forêt était belle et bien là, le doux ruisseau qui coullait aussi, et ue juen femme était allongé sous une couverture juste à coté de ce ruisseau. Elle était seul. Et si mon rêve était vrai ? Enfin, plutôt etsi mon voeux se réaisait ? Alors je m'approcha d'elle très lentement sans fare un bruit. Pas à pas, je m'approchais d'elle. Tout d'un coup, je marcha soudain sur un caillou et elle se releva d'un bond et me fixa.
C'était belle et bien elle. Mon ange, un magnifiqu ange tommb du ciel. Ses yeux scintillaient de tout leur éclat, ses lèvres d'une incroyable beauté qui n'avait guère changé, les ombres sur sa peau, fesait resortir son magnifique teint, ses cheveux soyeux se déplaçaient avec les quelques souffles du vent, ils étaient toujours avec ses nuances d'or et de cuivre avec la lumière du solel qui se projettait sur elle... Elle était encore plus belle quela dernière fois que je l'avais vu.
Que devais-je faire ? M'avancer et la serrer fort comme j'en avais envie ? Où attendre de voir sa réacion, ses actions, efin ce qu'elle désirait elle ? Je restais là pétrifié devant, à quelque dixaine de mètre d'elle. Je voulais me jete sur elle et l'embrasser. Je voulais crier ma joie de la revoir. Je voulais lui chuchoter à l'oreille "je t'aime". Mais une foce me retenait, la peur. J'avais peur, peur desa réaction, éait-elle contente de me revoir ? Cela fesait à put près quinze secondes que nous étions l'un en face de l'autre et pas un de nous n'avait bougé ou parlé...

[Julia O'Connord]

Julia était toujours caché sous sa couverture. Elle avait son coeur qui battait à tout rompre dans sa cage thoraxique. Elle se disait que Chris allait revenir très vite et qu'elle n'aurait plus besoin de paniquer comme cela. Elle s'en voulait de ne pas être aussi forte qu'elle l'aurait voulu. Elle s'en voulait aussi de ne pas avoir su le retrouver. Il hantait toujours son esprit, elle ne pouvait oublier son regard et tous ses moments de bonheur passés avec lui. Elle avait mal au coeur. Un énorme trou s'était formé depuis qu'elle ne savait plus où il se trouvait. Elle avait les yeux fermés sous sa couverture pour ne pas laisser échapper ses sanglots et ses larmes et serrait ses poingts pour ne pas émettre des sons en pleurant.
Puis, elle entendit un son, un bruit sourd ne provenant pas d'elle. Elle enleva sa couverture en un mouvement brusque et se retourna vers l'endroit d'où était venu le bruit. Elle ouvrit de grands yeux quand elle vit qui se tenit là. C'était lui. C'était Lui !!!! Il se teait devant elle. Non pas possible !!! Elle devait rêver. Mais si c'était le cas, elle en voulait plus se réveiller, plus jamais. Elle le regarda un long moment, durant des secondes qui lui parurent être une étreinité. Quinze secondepourtant, ce n'ets pas bien long...
Elle laissa couler quelques larmes le long de ses joues et se leva dans un mouvement qu'elle trouvait trop lent. Elle se précipita vers lui et temps pis si elle était en train de rêver. Car souvent dans ses rêves quand elle s'approchait de lui, il s'effaçait et elle se réveillait.
Cependant là, plus elle s'approchait de lui, plus elle se rendait compte qu'elle ne rêvait pas. Elle accéléra ses pas et se jetta à son cou dès qu'elle fut assez proche de lui. Ellel'embrassa longuement et ne reprit son souffle que pour mumurer son prénom avant de se remettre à l'embrasser.Cependant, elle du s'arrêter car elle commençait à ne plus avoir de souffle. Elle passa cependant ses bras autour de son cou et resta proche de lui. Elle le regarda droit dans les yeux et murmura :

Tu es revenu, tu es revenu.

Alors là, elle se laissa aller. Elle laissa toute la peine qu'elle avait eu de ne pas le revoir exploser et la jeune Julia éclata en sanglot dans les bras de l'être qu'elle aimait le plus au monde.

[Jamie Stryder]

Je la vis se mettre à pleurer. Ele se mit à courir à toute vitesse vers moi, c'était comme un ange qui foyait l'enfer, tant de peur, de tristesse dans ses eyux, mais en même temps on voyait tout le bonheur qu'elle avait. Je n'étais pu pétrifié, je voyais bien qu'elle était heureuse de me voir. J'étais heureux. Que la forêt, les traqueurs, mon rpve étaient bons, c'est eux qui m'avait conduit à elle et j'en étais plus que heureux. Tellement que j'étais heureux, je ne trouvais pas d'autres mots. Elle finit sa course et se retrouva à deux centimètres de moi. Elle me sauta dans les bras. Elle m'embrassa passionnément. Je l'embrassais passionnément. Elle m'enlaçait très fort. Je l'enlaçais très fort...
Elle stopa quelque secondes et murmura mon prénom, et nous reprîmes notre étreinte. Nous décollâmes nos lèvres les unes des autres. Elle reprit son souffle bruyamment. Je la regardais dans les yeux, je me perdais dans ses suptueux yeux. Elle passa ses bras autour de mon cou et j'avais les miens autour de sa taille. Elle me murmura quelque mots de soulagement mais qui la fit rentrer dans un sanglot.
Elle éclata en sanglots entre mes bras. Je la serra fort pour lui montrer tout le bonheur que j'avais et mon envie qu'elle se calme un peu. Ce moment, à nous, était tout bonnement merveilleux. Elle posa sa tête sur mon épaule et je colla mes lèvres à son oreille. Je chuchotais d'un ton exalté.
-Oui, je suis là !
Je déposa un baiser sur sa tête et reprit mon chuchotement.
-Je t'aime mon ange.
Avec ma tête, je lui fis relever la sienne. Elle état toujours en train de sangloter. Je la souleva dans mes bras, la porta quelque mètres plus loin, où l'herbe commençait. Je la posa délicatement allongé dan l'herbe. Je me mis au dessus d'elle, un bras dechque côté, le regard dans le sien. J'était à genoux penché sur elle. Je déposa un tendre baiser sur son fron. Et parla distintement d'un ton heureux, même si mon ange était en train de sangloté, je ne pouvais ne pas être heureux de la voir, c'était tout ce que je demandais depuis le jour où nous nous étions quittés.
-Que le hasard fait bien les choses !
Je caressa sa joue avec le dos de ma main. J'embrassa ses lèvres avec une passion que nous n'avions jamais eu, un mélange de soulagement, de peur, de joie, de tristesse, de fusion. J'en étais sûr elle était l'élu, l'élu de mon coeur. Celle qui sera toujours la plus merveilleuse à mes yeux. Je ferais tout pour elle, quoi qu'elle me demande. Je l'embrassais passionnément pendant un moment, l'un au dessu de l'autre...

[Julia O'Connord]

Julia plaquait ses lèvres contre les siennes. Elle sentait que lui aussi. Elle le serrait très fort, autant qu'elle le pouvait et les bras de Jamie autour de son corps la rassurée un minimum et la mettait en joie. Elle reprit sa respiration bruyemment. Elle avait toujours ses lèvres non loin de celle de son amour. Pendant qu'elle reprenait sa respiration, elle ne céssé de murmurer son prénom. Elle n'en croyait toujours pas ses yeux. Il était avec elle, elle ne rêvait pas. Ele plogea dans son regarde t retrouva enfin ses prunelles qui lu avait tat manqué. Puis elle se mit à pleurer comme une gamine. Elle ne pouvaity plus retenir toute la peine qu'elle avait eut de le perdre et tout cela à cause de son frère !!! Elle haïssait les traqueurs et encore plus depuis qu'elle avait vu ce qu'il s'était passé à l'hopital.
Il la serrait fort et lle s'accorchait à lui comme un naufragé à un bout de vois. Elle ne voulait plus le lâcher. Elle avait sa tête posée sur son torse et ses bras était toujours autour de son cou. Elle était heureuse d'être avec lui mais elle ne trouvait pas la force de s'arrêter de verser des larmes. Elle posa sa tête sur sn épaule et elle l'entendit lui dire qu'il était là e qu'il l'aimait. Ah ce moment elle ne pu plus réfléchir. Son coeur s'emballa et il battit trop fort dans sa poitrine. Il lui souleva la tête et la porta dans l'herbe. Elle se raccrocha à lui quand il la portait mais elle pleurait toujours mais moins fortement quand même. Elle tentait de sécher de ses larmes puis elle se sentit poser sur le sol. lle sourit quand même un peu quand l parla sde hasard. Elle lui dit en tentant de mesurer sa voix :

Le hasard ? Je te cherche depuis une semaine mon amour...

Elle le regarda et l'embrasas avec une très grande passion qu'elle ne connaissait pas. Elle le laissa se mettre au dessus d'elle et finit par sécher ses larmes complètement. Il n'y avait plus que du bonheur. Bonheur de l'avoir enfin retrouvé et de le sentir près d'elle. Elle le regarda droit dans les yeux après leur baiser.

[Jamie Stryder]

Elle fut un peu surprise par le terme hasard. Elle me préscisa que cela fesait une semaine qu'elle me cherchait. Nous nous embrassâmes avec passion, elle sécha totalement ses larmes, plus une goûte d'eau ne coulait de ses yeux et nos regards se posèrent l'un dans l'autre. Quelques secondes passèrent l'un dans l'autre, pouvait-elle se douter de ce bonheur qu'elle m'apportait ? De sa présence... Qu'elle ne soit pas près de moi, c'est comme si je mourais lentement avec une souffrance inqualifiable, une énorme entaille dans le coeur... Je répondit avec un ton joyeux et taquin, ce moment était beau, rien ne pourrait me le gacher.
-Mon ange, je te cherche presque depuis le jour où nous nous sommes quittés. Mais c'est le hasard qui m'a ammené dans cette forêt.
La souffrance avec laquelle je devais vivre depuis un moment, depuis que nous sommes séparés, était partie. Mais pour combien de temps ? Je ne devais pas y penser, je l'aime et elle est là, c'est tout ce qui compte. Je repris la parole.
-Oui le hasard ! Nous étions en mission avec les autres, des traqueurs nous ont suivis, j'ai été séparé d'eux en les fesant me suivre. Je les ai semé et par hasard je me susi retrouvé dans cette forêt, perdu.
Je n'arivais jamais à me taire près d'elle, je devais toujours tout lui raconter, lui dire toute la vérité. Elle n'avait aucun soucie à ce faire au sujet de ma franchige pour elle. Cette dernière était totale. Mon ange...
-Et surtout, ce qui m'a ammené à parcourir la forêt, c'est mon rêve tout éveillé à la recherche de la lumière... de mon ange... ma raison de vivre.
Après mes mots, je posa mon front sur le sien et ferma les yeux. Je chuchota quelques mots à peine audible, mais j'étais sûr qu'elle les avait perçu.
-Je suis tellement heureux. Tu es toute ma vie. Mon coeur est à toi pour le restant de mes jours. Je t'aime.
Je restais, les yeux fermés et mon front sur le sien attendant sa réaction, j'avais toujours peur, peur d'aller trop vite... trop loin... de trop en dire... de trop ouvrir mon coeur et elle... non je le sais elle m'aime...

[Julia O'Connord]

Julia l'écouta avec délice. Elle aimait entendre son timbre de voix de nouveau et sentir son souffle quand il parlait. Pour un peu, elle se serait remise à pleurer mais elle se contrôla et le regarda plutôt dans les yeux. Il lui faisait tant de bien. Elle était tellement bien dans ses bras. Elle ne pouvait plus penser autr chose qu'à lui, qu'au bonheur quillui apportait. Elle en oubliait même les traqueurs et son ami partit en expédition. Elle répliqua :

Alors le hasard fait drôlement bien les choses mon amour. Je suis si heureuse de te retrouver enfin. Si tu savais comme tu peux me rendre heureuse...

Elle frisonna quand il parla de traqueurs. Et s'ils étaient dans les parages, il serait en danger... Et si son frère était avec eux ce matin quand ils ont séparé l'expédition humaine ? Ces questions se bousculaient dans sa tête et pourtant, elle n'arrivait pas à les résoudre. Elle était trop heureuse pour pouvoir réfléchir tranquillement. Elle dit cependant un peu inquiète :

J'espère que le Traqueurs ne débarqueront pas ici... Ils... Ils sont à ma recherche... J'ai vu des choses que je n'aurais jamais du voir et ils veulent me ramener pour m'envoyer ailleurs je crois...

Ses dernières paroles lui coupèrent le souffle et lui déchira le coeur. Et si les traqueurs la faisait patir de la Terre. Elle perdrait à tout jamais Jamie... non, elle en pouvait pas pense à cela maintenant. Elle devait savourer les instant passés avec lui et ne rien faire d'autre.
Il posa ensuite son ront contre celui de la jeune fille. Elle passa ses mains dans son dos et le serra fort. Elle ferma les yeux comme lui et l'écouta. Elle sourit et rouvrit les yeux après ses mots. Des mots qui lui allaient droit au coeur. Elle lui chuchota à l'oreille :

Je t'aime aussi. J'ai attendu huit vies, huit vies avant de trouver enfin un compagnon. Je me veux pas te perdre ou te quitter. Tu me rends si heureuse.

Elle le serra un peu plus étroitement puis l'embrassa tendrement. Elle avait toujours peur qu'il la quitte malgré ses paroles. Elle espérait toujour entendre de telles paroles venant de lui car elle n'en accepterait pas venant d'une autre personne. Elle l'aimait simplement et plus que sa propre vie. Lorsqu'elle stoppa leur baiser, elle lui mumura sans arrêt :

Je t'aime Jamie, Je t'aime.

[Jamie Stryder]

Ses paroles me touchaientdroit au coeur, elle ne pouvait pas savoir à quel point celle-ci me réconfortaient, me touchaient, me rendaient heureux. J'étais toujours au dessus d'elle, elle m'enlaça fort et m'embrassa tendrement. Qaudn elle stopa notre étreinte, elle me chuchota sans cesse dès je t'aime, je t'aime Jamie... J'étais au courant, j'en étais certain, c'était la femme de ma vie. Jamais personne ne nous séparera sauf si on devait morir l'un pour l'autre... Je posa mon doigt sur ses lèvres pour qu'elle arrête de murmurer ses mots et je murmura à mon tour.
-Je sais. Nous sommes fait l'un pour l'autre...
Tout d'un coup, j'entendis du bruit. Il fallait pas que un humain libre, rebelle se fasse repérer. Et surtout qu'une âme se fasse voir avec sans dénoncer. Il fallait que je pars avant que cette personne ne nous voit. Alors je me releva d'un bond. Je rapprocha ma tête de son oreille pour lui chuchoter quelque mots.
-Rendez-vous ici ce soir vers vingt-deux heures. Je t'aime mon amour.
Je partis en courant à toute vitesse, je retourna la tête, une silhouette était en train d'approcher de Julia. Je reconnu lavoix de celui-ci, ce n'était autre que son pote. Un homme avait une jalousie énorme qui ne pouvit me supporter. J'avais bien fait de partir, je la reverais plus tard. Une journée a attendre, ce n'est aps beaucoup comparer à ce que j'avais attendu.
Je m'étais rendu compte qu j'étais heureux que ce soit lui, car si je ne l'avais pas reconnu, je serais surement et même obligatoirement revenue pour vérifier, la protéger...
La forêt était comme quand je l'avais traverser en rêve, mon illusion était revenue, un moment de bonheur. La lumière avai éclairé ma vie, mon coeur, mon corps, mon âme... Tout était si beau, même si on était tout deux en cavale, l'un doit être envoyer sur une autre planète et l'autre doit mourir. Enfin, je dois plutôt avoir uneâme en moi, se qui reviens à mourir, car on perd notre vie, notre coeur, notre corps... il ne nos reste que notre âme de quoi rester tout jute là dans la tête du nouveau possesseur de notre corps.

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